Mientras el cinema se gira hacía la tecnología, la 3D, los efectos especiales como «Avatar», «The Transformers», otros como el realizador Pascal Rabaté se gira hacía la autenticidad de las películas mudas. Esta semana, sale en Francia su última película «Ni a vender, ni a rentar» que es una comedia casi sin diálogos. Sin olvidar Michel Hazanavicius que trata, con la película «The Artist», la aparición del hablar en el cinema, final de los años 20.
El cinema mudo del principio del siglo XX era un cinema burlesco y divertido por la mayoría de las películas. El hablar cambió la percepción de la película, no solo permitió ofrecer un tipo diferente sino también jugó un momento crucial para muchos de los actores de esta época.
Alors que le cinéma se tourne vers la technologie, la 3D, les effets spéciaux spectaculaires comme «Avatar», «The Transformers», d’autres comme le réalisateur Pascal Rabaté se tournent vers l’authenticité des films muets. Cette semaine, il sort en France son dernier film «Ni à vendre ni à louer» qui est une comédie presque sans paroles. Sans oublier bien sûr Michel Hazanavicius qui traite, avec «The Artist», l’apparition de la parole dans le cinéma, fin des années 20.
Le cinéma muet du début du XXeme siècle était un cinéma burlesque, drôle pour la plupart des films. La parole a changé la perception du film, a permis d’offrir un genre différent mais a aussi joué un grand tournant pour beaucoup d’acteurs de cette époque.
Charlie Chaplin en Charlot |
Podemos decir que el cinema nació en 1888 con Thomas Edison que inventó el kinetoscopio, un armario donde una sola persona podía ver las imagenes garbadas. Fue en 1895 con los hermanos Lumières cuando las 1eras proyecciones de imágenes para varias personas comenzó. El mismo año el público parisino asistía a la proyección de «La salida de la fábrica Lumière en Lyon» y «El Jardin» considerados como las 1eras películas.
Es sólo en 1914 cuando Chqrlie Chaplin hace vivir el cinema mudo con su 1era película «Making a living». Consideraba a Max Linder como su maestro, lo que explica el personaje de esta película misma, vestido de abrigo entallado y con un sombrero de copa, lo inspiró «el hombre con el sombrero de seda», apodo dado a Max Linder. Max Linder era un realizador y actor francés de los años 10, inventor del burlesco y fuente de inspiración para el personaje Charlot de Charlie Chaplin.
El cinema mudo conoció su apogeo en Hollywood en los años 20. Charlie Chaplin contribuó mucho en eso con todas sus películas que se volvieron referencias como «The Immigrant», «The Gold Rush»... también el duo «El gordo y el flaco» o también «Metropolis» película de Fritz Lang en 1927. Es un cinema que pone en relieve la imagen, las expresiones faciales como físicas y la música que siempre ha sido importante para dar el tono de la escena.
Nous pouvons dire que le cinéma est né en 1888 avec Thomas Edison qui a inventé le kinétoscope, une armoire dans laquelle une personne pouvait voir les images enregistrées. Ça a été en 1895, avec les frères Lumières que les premières projections d’images pour plusieurs personnes ont commencé. La même année le public parisien assistait à la projection de «La sortie de l’usine Lumière à Lyon» et «La jardinier» considérés comme les 1ers films.
Max Linder |
Ce n’est seulement qu’en 1914 que Chaplin fait vivre le cinéma muet avec son 1er film «Making a living». Il considère Max Linder comme son maître, d’où le personnage de ce même film vêtu d’une redingote et coiffé d’un haut-de-forme, inspiré par «l’homme au chapeau de soie», surnom de Max Linder. Max Linder est un réalisateur et acteur français des années 10, inventeur du burlesque et source d’inspiration pour le personnage Charlot de Charlie Chaplin.
Le cinéma muet a connu son apogée à Hollywood dans les années 20. Charlie Chaplin y a bien sûr beaucoup contribué avec ses films qui sont devenus des références comme «l’Émigrant», «La ruée vers l’or»... aussi le duo burlesque «Laurel et Hardy» ou encore «Métropolis» film de Fritz Lang en 1927. C’est un cinéma qui met en valeur l’image, les expressions faciales comme corporelles et la musique qui a toujours été importante pour donner le ton de la scène.
La llegada del hablar cambió muchas cosas. Consideramos como la 1era película del cinema sonoro «The jazz singer» realizada por Alan Crosland en 1927. Muchos actores del mundo mudo desaparecieron de la gran plantalla y no lograron a hacerse un nombre en le mundo de sonoro; tema tratado en la película «The artist». Pero el duo «El gordo y el Falco» y Chaplin ellos lograron a sobrevivir a esta nueva ola aunque se quedaran escépticos porque el burlesco necesita mucho mas gestuales que diálogos. Chaplin introduce un poco de palabras en «Modern Times» en 1936 y en «The Great Dictator» en 1940 con su discurso final.
Pero una nueva concepción de la película llegó. La palabra dió lugar a historias de amor mas elaboradas como «Gilda» película realizada por Charles Vidor en 1946, o también al acción con el Western «Points West» en 1929.
Y hoy, ya no podemos ver una película sin acciones o historias de amor, creo incluso que las películas hollywoodinenses ponen demasiado importancia al acción y ya no bastante a la trama de la historia. Con todas estas tecnologías, cuya la 3D, ya no nos damos cuenta que el cinema mudo tuvó su momento de gloria.
L’arrivé du parlant a changé beaucoup de choses. On considère comme 1er film du cinéma parlant «Le chanteur de Jazz» réalisé par Alan Crosland en 1927. Beaucoup d’acteurs du monde muet disparaissent du grand écran et n’arrivent pas à percer dans le monde du parlant; sujet traité dans le film «The artist». Par contre le duo Laurel et Hardy et Charlie Chaplin eux ont réussi à survivre à cette nouvelle vague même s’ils y ont été sceptiques car le burlesque demande beaucoup plus de gestuel que de dialogue. Chaplin introduit un peu de parole dans «Les Temps Modernes» en 1936 et dans «Le dictateur» en 1940 avec son discours final.
Mais une nouvelle conception de film est arrivée. La parole a donné place à des histoires d’amour comme «Gilda» film réalisé par Charles Vidor en 1946, ou encore à de l'action avec le Western «Points West» en 1929.
Et aujourd’hui nous ne pouvons plus voir un film sans action ou histoire d’amour, je trouve même que les films hollywoodiens mettent trop d’importance à l’action et pas assez à la trame de l’histoire. Avec toutes ces technologies, dont la 3D, nous ne nous rendons même plus compte que le cinéma muet a eu son moment de gloire.
Agradezco entonces estos 2 realizadors franceses (P.Rabaté y M. Havanavicius) para volver a darnos esta sensibilidad al imagen, a la emoción... al mudo en 2011.
Je remercie donc ces 2 réalisateurs français (P. Rabaté et M. Havanavicius) pour nous redonner cette sensibilité à l’image, à l’émotion... au muet en 2011.
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